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Il y a dix ans aujourd’hui, notre camarade François Delapierre (1970-2015) était emporté par la maladie. Il avait, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon, été le principal architecte et animateur du Parti de gauche, et posé les bases de la France insoumise.  François ne séparait pas la théorie et l’action. Intellectuel et stratège, il savait qu’il faut comprendre le réel pour avoir prise sur lui. A ceux qui eurent la chance de militer et de se former à ses côtés, il ne prodiguait pas de longues leçons, mais offrait un exemple en action. On comprenait, à son contact, que l’action politique – la vraie – exige une pensée globale, une attention toujours en éveil, une méthode rigoureuse. Et aussi l’énergie de la volonté, qui permet de s’émanciper des routines de la doxa et de l’entresoi ayant mené la « gauche » traditionnelle à sa perte. Nous ne l’oublions pas.
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Grande tristesse
Il y a dix ans aujourd’hui, notre camarade François Delapierre (1970-2015) était emporté par la maladie. Il avait, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon, été le principal architecte et animateur du Parti de gauche, et posé les bases de la France insoumise.  François ne séparait pas la théorie et l’action. Intellectuel et stratège, il savait qu’il faut comprendre le réel pour avoir prise sur lui. A ceux qui eurent la chance de militer et de se former à ses côtés, il ne prodiguait pas de longues leçons, mais offrait un exemple en action. On comprenait, à son contact, que l’action politique – la vraie – exige une pensée globale, une attention toujours en éveil, une méthode rigoureuse. Et aussi l’énergie de la volonté, qui permet de s’émanciper des routines de la doxa et de l’entresoi ayant mené la « gauche » traditionnelle à sa perte. Nous ne l’oublions pas.
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Il y a dix ans aujourd’hui, notre camarade François Delapierre (1970-2015) était emporté par la maladie. Il avait, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon, été le principal architecte et animateur du Parti de gauche, et posé les bases de la France insoumise.  François ne séparait pas la théorie et l’action. Intellectuel et stratège, il savait qu’il faut comprendre le réel pour avoir prise sur lui. A ceux qui eurent la chance de militer et de se former à ses côtés, il ne prodiguait pas de longues leçons, mais offrait un exemple en action. On comprenait, à son contact, que l’action politique – la vraie – exige une pensée globale, une attention toujours en éveil, une méthode rigoureuse. Et aussi l’énergie de la volonté, qui permet de s’émanciper des routines de la doxa et de l’entresoi ayant mené la « gauche » traditionnelle à sa perte. Nous ne l’oublions pas.
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