🔥 L’HOMME ANTI-BLANCHIMENT DE BRUXELLES MIS EN EXAMEN POUR… BLANCHIMENT MASSIF ! 💶
Didier Reynders, 67 ans, ancien commissaire européen à la Justice et ex-ministre belge, vient d’être mis en examen pour blanchiment d’argent. Oui, vous avez bien lu : l’homme chargé de défendre la probité européenne est soupçonné d’avoir recyclé des centaines de milliers d’euros via… des tickets de loterie. 🎰
Le parquet général de Bruxelles garde le silence. Les médias parlent d’une inculpation le 16 octobre, mais comme toujours quand un haut dignitaire de l’UE est impliqué, l’opacité règne. Aucune conférence de presse, aucun mea culpa : le système se protège.
Tout commence par une série de versements suspects sur son compte ING, entre 700 000 et 800 000 euros. Interrogé par la banque en 2018, Reynders sort une explication surréaliste : il aurait “vendu des œuvres d’art”. Et comme par magie, après ces échanges, il arrête les virements et se met à acheter pour 200 000 € de billets de loterie près de chez lui. Un “loisir” tellement extravagant que la Loterie nationale signale elle-même les faits à la justice.
🔍 Les enquêteurs perquisitionnent un antiquaire, fouillent les comptes, recoupent les transactions. Rien ne colle. Les œuvres d’art ? Introuvables. L’origine des fonds ? Inconnue. Le profil ? Typique : un politicien de haut vol, habitué à flotter au-dessus des lois.
Mais le plus beau, c’est que cet homme, chargé de la lutte contre le blanchiment au sein de la Commission européenne, se défend aujourd’hui en invoquant… l’immunité parlementaire. On croit rêver. Une immunité taillée sur mesure pour que les puissants échappent à ce qu’ils imposent au peuple.
💥 Et même s’il était reconnu coupable, Reynders pourrait s’en sortir avec une simple amende négociée, sans prison, sans procès, sans honte. Un chèque, un sourire, et retour à Bruxelles. Pendant ce temps, un petit entrepreneur ou un citoyen lambda serait détruit pour dix fois moins.
Et que dire de la banque ING, complice par son silence. Elle avait repéré les anomalies depuis 2018, mais a attendu cinq ans avant de prévenir la justice. Cinq ans de trop. La loi est claire : les “personnes politiquement exposées” doivent être surveillées de près. Mais quand on s’appelle Didier Reynders, on ne contrôle pas, on ferme les yeux. Quinze dirigeants de la banque ont été auditionnés, sans conséquences majeures.
Voilà ce qu’est devenue l’Europe de Bruxelles : un théâtre d’hypocrisie où ceux qui font la morale sont souvent les premiers à trahir leurs propres principes.
L’homme qui incarnait la lutte contre le blanchiment d’argent est aujourd’hui soupçonné d’en être l’un des champions. Et dans cette Europe-là, le seul crime impardonnable, c’est de dénoncer le système.
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