Réseau de lutte contre les #exclusions, la Fédération des acteurs de la solidarité regroupe 900 #associations et organismes qui accompagnent les démunis.
Au vu du caractère toxique du réseau X pour la solidarité qui fonde la Fédération des acteurs de la solidarité et son action, elle se retire de ce réseau et vous donne rendez-vous sur BlueSky : @fedesolidarite.bsky.social.
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30 ans après la "Grande cause nationale 1994", le collectif ALERTE préconise de changer de braquet et d’investir plus en amont pour éradiquer la pauvreté à la racine.
✍️ TRIBUNE. Ne laissons pas la pauvreté devenir quelque chose d’acceptable
Comment se fait-il que la France ne parvienne plus à faire reculer la misère ?
liberation.fr/idees-et-debat…
🗣️"Si on n'investit pas massivement sur les autres politiques publiques comme le logement, les personnes en situation de #pauvreté ne pourront pas accéder à l'emploi". Nathalie Latour, DG Fédération des acteurs de la solidarité.
Nathalie Latour « la réflexion que nous devons tous et toutes avoir sur l’emploi est sur celle du droit à l’emploi et pas celle de l’injonction au travail »
Nathalie Latour : « L’emploi remède contre la pauvreté ? Un grand oui si on est dans des politiques publiques efficaces. Or les politiques ne sont pas au niveau des enjeux périphériques de l’emploi comme l’accès au logement et à la santé. »
Claire Hédon : « pour défendre et accéder aux droits, il faut un service public accessible. Trop souvent on constate un éloignement du service public : la dématérialisation des procédures administratives éloigne les personnes vulnérables et devient un facteur d’exclusion »
Claire Hédon, @Defenseurdroits : « la participation des plus pauvres n’est pas seulement utile, elle est indispensable. Défendre l’accès aux droits n’est pas envisageable sans le savoir des personnes concernées, qui est irremplaçable »
Pierre François Martinot, premier vice-président chargé de l’application des peines, Tribunal Judiciaire de Nantes.
« Le juge d’application des peines travaille à rendre la peine utile au delà de sa fonction punitive »
Penelope Alexandre, intervenante socio-éducative (Association Nivernaise Accueil et Réinsertion) revient sur les logiques de coopération entre les CPIP et l’équipe de l’association dans la mise en place des placements à l’extérieur pour les pour les personnes incarcérées.
Émilie Foque, référente « droits sociaux » à la DISP de Lille revient sur le rôle des CPIP entre l’accès aux droits, les propositions d’aménagement de peine, le maintien des liens familiaux…
Table ronde : « L’intervention des associations dans le parcours pénal de la personne : un enjeu de coordination et d’interconnaissance des acteurs » 👇
Romain Emelina, Chef du département des parcours de peine à la DAP : « Le placement à l’extérieur ne représente que 4% des aménagements de peine. C’est pourtant une mesure efficace pour les personnes qui cumulent des problématiques (logement, accès à l’emploi…) »
🗣️ Nathalie Latour, directrice générale de la FAS : « Ne pas investir dans l’accompagnement social revient à
ne pas investir dans la prévention de la récidive. Ces deux dimensions sont intrinsèquement liées et c’est la voix que nous devons porter. »
Danièle Jourdain Menninger, Co-rapporteure de l’avis « le sens de la peine » du CESE : « plus on ouvre de places de prison, plus on incarcère. Cet argent devrait plutôt servir à rénover les prisons suroccupées et indignes. »
Table ronde : « Travail social et désistance : quelle réalité dans les politiques publiques aujourd’hui ? » ac N.Bougeard, Directeur de l’Etape Insertion, R.Emelina de la DAP, D. Jourdain Menninger, co-rapporteure de l’avis “le sens de la peine” du CESE et N.Latour, DG de la FAS
🗣️ Pascal Brice, président de la FAS : « Incarcérer sans cesse plus de personnes, ne pas se donner les moyens de l’accompagnement, ne pas se questionner sur les conséquences des incarcérations massives est délétère pour la société et la dignité des personnes. »