👁️DGSI : trois morts en cinq mois, suicides ou grand ménage ?🎯🧹🧽🚨
Mes petits curieux,
Sortez vos loupes et vos neurones, ça sent le soufre.
Trois agents de la DGSI ont rejoint le grand silence en cinq mois. Officiellement, des suicides. Une balle bien placée, un parking glauque sous le siège de Levallois-Perret, une lettre au domicile pour faire genre, et hop, dossier classé.
Sauf que, quand les coïncidences s’empilent comme des briques, ça commence à ressembler à un mur pour cacher la vérité.
Trois cadavres dans l’ombre du pouvoir
Depuis janvier, la DGSI, ce coffre-fort où l’État planque ses secrets les plus crades, accumule les drames. Deux agents retrouvés refroidis dans les sous-sols du QG, un troisième lundi soir, tous avec le même script : arme de service, thèse du suicide, et l’Inspection générale de la sécurité intérieure (IGSI) qui enquête en marchant sur des œufs.
Ajoutez une dizaine de flics “suicidés” dans la police nationale sur la même période, et on n’est plus dans une vague de blues, mais dans une série noire.
Mais attention, ici, on ne parle pas de simples flics.
On parle de la DGSI, les gars qui savent tout, sur tout le monde. Et quand trois d’entre eux se “suppriment” dans des circonstances aussi théâtrales, on peut se poser la question :
c’est vraiment le poids du boulot qui les a brisés, ou quelqu’un a décidé qu’ils en savaient trop ?
Un chef d’orchestre dans l’ombre
Et là, mes chéris, on touche au nectar.
Des murmures circulent, et pas des moindres.
Un certain chef du GSPR oui, le boss de la sécurité rapprochée des puissants aurait joué les nettoyeurs.
Pas avec un balai, hein. On parle de “corrompre” quelques agents de la DGSI pour effacer des traces gênantes.
Des dossiers brûlants sur des VIP, des affaires qui puent le scandale, des vérités qu’on ne veut surtout pas voir éclater.
Tout ça, bien sûr, sans en toucher un mot au sommet de la DGSI.
Trop risqué. Trop sale.
Simple coïncidence, me direz-vous ?
Ou éliminations chirurgicales pour protéger les intouchables ?
Parce que, soyons sérieux deux secondes :
trois morts dans le saint des saints de la sécurité intérieure, dans un laps de temps aussi serré, ça ne sent pas le hasard. Ça sent le ménage. Le genre de ménage où on ne laisse pas de témoins.
Un climat qui pue l’autoritarisme
Et pendant ce temps, la France s’enfonce dans une ambiance de régime musclé.
Interpellations de dissidents à 6h du mat, descentes chez des journalistes indépendants, intimidations d’écrivains qui osent l’ouvrir…
Ça vous rappelle rien ?
Moi, si. Les pages sombres du XXe siècle, celles où poser des questions devenait un sport extrême.
Depuis que Macron a posé ses valises à l’Élysée, et encore plus ces derniers mois, l’État serre la vis.
Et si des agents de la DGSI, ces gardiens des secrets d’État, devenaient des grains de sable dans l’engrenage ?
Des témoins gênants ?
Des consciences trop lourdes ?
Le doute, c’est pas un crime
Alors, quoi ?
On avale la pilule du “suicide” et on passe à autre chose ?
Ou on se met à gratter là où ça démange ?
Trois morts, deux dans le même parking, une vague de pressions politiques comme on n’en a pas vu depuis des lustres…
Faut être sacrément candide pour y voir une coïncidence.
Moi, je dis :
quand le silence est aussi assourdissant, c’est qu’il y a quelque chose à entendre.
Une démocratie qui n’a rien à cacher n’a pas peur des questions.
Alors, posons-les.
Et tant pis si ça pique.