Différence entre un chercheur et un militant politique ?: “Chercher à comprendre, c’est commencer à désobéir.”

😱 Totalement inacceptable ‼️ L’horreur en pleine nuit… ma Belle-Mère s’est fait fracasser sa voiture… qui n’est pas la sienne. Dingue 🥵 ⚠️ Gros conflit entre les Assurances… Que faire ⁉️ @courbet_julien @hpouchol @BanquePopulaire #roselyne #jura

Ce vendredi, un groupe de supporters du club marocain s’est rendu près de la Tour Eiffel pour fêter leurs 20 ans. Selon «Le Parisien» une enquête a été ouverte. Le maire du XVe arrondissement, Philippe Goujon, a évoqué de son côté de « petits attroupements » et de « modestes feux d’artifice ». →l.lefigaro.fr/eJa0

Pourquoi le budget de l'État a-t-il dérapé en 2023 ? Explications ici. ⬇️⬇️⬇️

Alors que la discussion budgétaire se poursuit au Parlement, quelques éléments prospectifs sur notre trajectoire de dette. En effet, un des enjeux de la discussion sur le budget devrait être la soutenabilité des finances publiques. Celle-ci peut s’apprécier en projetant des trajectoires de dette publique en proportion du PIB à un horizon de moyen-long terme. C’est ce que j’ai présenté lors de mon audition devant la Commission des finances du @Senat il y a 10 jours. La trajectoire budgétaire que la France a présentée aux autorités européennes (scénario RAA- PSMT dans le graphique ci-dessous) permettrait de réduire le ratio de dette publique à partir de 2028. Elle repose sur des hypothèses macroéconomiques assez « volontaristes », mais laisse une marge suffisante pour permettre une stabilisation de la dette publique dans un scénario macroéconomique plus prudent (scénario A). La trajectoire en vigueur suppose aussi un ajustement structurel primaire très important et rapide, de l’ordre de 4,6 points de PIB de 2026 à 2031 (soit 135 milliards environ d'amélioration du solde primaire annuel), qui semble peu réaliste faute de capital politique suffisant. On peut néanmoins voir qu’un ajustement aussi important mais moins rapide, étalé jusqu’à 2037, permettrait de stabiliser la dette publique (scénario A+B) autour de 130 % du PIB. L’équation se complique si on met en œuvre des politiques qui réduisent la croissance potentielle, comme le fait de revenir en arrière sur la réforme des retraites ou d’alourdir la fiscalité sur les facteurs de production (le capital et le travail) : la stabilisation de la dette n’est plus acquise à l’horizon 2050 (scénario A+B+C). Enfin, si on réduit l’effort de moitié, soit 2,3 points d’ajustement structurel primaire au lieu de 4,6 points, on bascule dans une zone dangereuse (scénario A+D) : le ratio dette publique suit une trajectoire très croissante, pour ne pas dire explosive. Même un surcroit de croissance potentielle important (+0,5 point par an) ne suffirait pas à stabiliser la dette dans un tel scénario (scénario A+D+F). Et une probable hausse des taux d’intérêt accentuerait encore la dynamique explosive. On est donc dans un équilibre instable, avec le risque d’une crise auto-réalisatrice (A+D+E). A noter qu'aucun de ces scénarios n'intègre le risque d'une crise exogène comparable à la crise financière ou à la crise sanitaire, qui viendrait encore dégrader la trajectoire des finances publiques. Or ce type de crise survient tous les 10-15 ans. En conclusion, il devient primordial, sauf à assumer une trajectoire croissante et sans stabilisation de la dette publique, de mener l’ajustement auquel la France s’est engagée, de l’ordre de 4,6 points de PIB, quitte à aller moins vite, mais sans (trop) pénaliser la croissance potentielle.

En 2024, la Chine a exporté pour 18 milliards de dollars de véhicules électriques vers l’Europe — plus que vers l’Asie, l’Amérique latine et le reste du monde réunis… En quinze ans, le coût des batteries a chuté de 90 %, mais c’est bien Pékin qui en a capté la rente. La Chine fabrique près de 80 % des batteries mondiales, contrôle l’affinage du lithium, du nickel et du cobalt, et exporte désormais ses véhicules, mais aussi ses usines : en Thaïlande, au Maroc, au Brésil ou en Hongrie.. Un peu partout, les constructeurs chinois ne se contentent plus de vendre ; ils installent leurs écosystèmes complets : fournisseurs, logiciels, bornes de recharge, maintenance... C’est un soft power industriel, plus efficace qu’un traité de libre-échange. Et il avance sous les couleurs de la “transition verte”, cette idée généreuse devenue la meilleure arme de la diplomatie économique chinoise. 🛂Le Center for Strategic and International Studies distingue deux modèles : - le modèle “importateur”, où les États misent sur des véhicules électriques bon marché venus de Chine ; - le modèle “industriel”, où ils tentent de bâtir une filière locale. L’Europe prétend faire les deux : importer pour électrifier vite, produire pour sauver ses usines. Résultat : elle réussit ni l’un ni l’autre. Les volumes stagnent, les coûts explosent, et la voiture électrique reste un produit subventionné par le contribuable plus que par le marché. 🛂 L’électrification devait être un projet de civilisation ; elle devient en plus un gouffre budgétaire. Rien que pour adapter les usines existantes, moderniser les chaînes de production, reconfigurer les réseaux électriques et déployer des infrastructures de recharge, l’Union devra selon les estimations du CSIS mobiliser plus de 100 milliards d’euros d’ici 2035. Autrement dit, l’Europe doit réinvestir massivement dans un appareil productif qu’elle a elle-même laissé s’éroder, au moment même où la Chine engrange les bénéfices d’une stratégie planifiée depuis vingt ans. 🛂 En 2024, l’Europe s’est félicitée de la hausse de ses ventes de voitures électriques. Mais derrière le vernis écologique, il s'agit d'une fuite de valeur ajoutée : la balance commerciale de l’Union s’enfonce, les usines locales ferment, et les subventions publiques soutiennent, en bout de chaîne, des produits chinois... csis.org/analysis/global-ev-…

Le Collège de France annule un colloque sur la Palestine co-organisé avec un institut financé par le Qatar lefigaro.fr/actualite-france…

‘La finance cosmopolite et apatride, ces vampires qui sucent rituellement le sang des bons Français.’ Après Edouard Drumont 1898 ou Jacques Doriot 1944, interprétation par Marine Tondelier 2025. Résiduel on vous dit.

Les États-Unis, qui sont à bien des égards eux-mêmes une forme de théocratie, ont toujours soutenu les mouvements politiques et armés islamistes dans leur politique étrangère depuis au moins cinquante ans. Il faut le savoir : les Américains préféreront toujours des islamistes radicaux à des partisans de la laïcité par pragmatisme cynique.

INFO LE FIGARO - Des militants pro-palestiniens venus soutenir les suspects devant le commissariat se sont retrouvés face à un groupe pro-israélien. Une rixe a éclaté. Quatre nouvelles personnes ont été interpellées. →l.lefigaro.fr/l14s l.lefigaro.fr/l14s

Dimanche 9 novembre : le Collège de France annonce l'annulation d'un colloque pro-Hamas prévu dans ses murs. Lire cet article pour plus de précisions.

Whoputain, le code promo « Louvre » pour choper 10% de remise sur les caméras chez @leroymerlinfr , ça c’est de la bonne com 🤣🤣🤣

🇫🇷 9 novembre 1970, mort du Géneral de Gaulle, le lendemain Georges Pompidou s'exprime : « Françaises, Français, le Général de Gaulle est mort, la France est veuve. En 1940, de Gaulle a sauvé l'honneur. En 1944, il nous a conduits à la Libération et à la victoire. En 1958, il nous a épargné la guerre civile, il a donné à la France actuelle ses institutions, son indépendance, sa place dans le monde. En cette heure de deuil pour la patrie, inclinons-nous devant la douleur de Mme de Gaulle, de ses enfants, de ses petits-enfants. Mesurons les devoirs que nous impose la reconnaissance, promettons à la France de n'être pas indigne des leçons qui nous ont été dispensées et que, dans l'âme nationale, de Gaulle vive éternellement. »

Le journaliste et écrivain Franz-Olivier Giesbert : «Emmanuel Macron ne pense qu'à lui-même» dans #LeGrandRDV

Le journaliste et écrivain Franz-Olivier Giesbert sur la montée de l'islamisme en France : «Il n'est plus question ni d'intégration, ni d'assimilation» dans #LeGrandRDV

Le journaliste et écrivain Franz-Olivier Giesbert sur la montée de l'islamisme en France : «Depuis des années, on laisse rentrer tout le monde, sans réfléchir» dans #LeGrandRDV

L’élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York est le signe « même s’il fait un peu de Taqiyya pour l’instant de l’influence que les Frères musulmans ont sur l’Occident » Une élection qui montre « la dégénérescence mentale d’une grande partie de la population. Je ne dis pas que c’est Hitler, mais enfin bon … il est ouvertement antisémite. ET il y a des tas de marqueurs qui montrent qu’il l’est. Il veut faire l’Afghanistan. C’est NewYorkistan » : @fogiesbert auteur de « Voyage dans la France d’avant » (@Gallimard) #LEDLR @RadioJFrance

Écologie : «Ce que les étudiants attendent, c'est de répondre à ces problématiques par l'innovation, de répondre aux idées reçues. En revanche, les étudiants sont pour beaucoup allergiques aux discours idéologiques», selon @Rubens_Strachan, délégué national de @droiteuniv.

«C’est un monstre» : le profil «maléfique» et «psychopathe» de Taha Oualidat, meurtrier présumé de Philippine. Certains traits de sa personnalité rappellent ceux de Dahbia Benkired, la meurtrière de la petite Lola ⬇️ lefigaro.fr/faits-divers/c-e…

Ce n'est pas le budget de l'Etat qui finance l'innovation. Même le CIR n'a bien souvent qu'un rapport éloigné avec la recherche et l'innovation, il suffit d'écouter Aghion sur le sujet.

Exactement. Tout cela décrédibilise la Cour des Comptes.