Pour résumer : quand il s’agit de soumettre les grandes multinationales étrangères au respect des règles fiscales qui s’appliquent à nos PME et à nos ETI, ou réclamer que les plus fortunés participent au redressement des finances publiques, les députés macronistes et LR hurlent à la mort.
Mais quand il s’agit de taper durement les petits épargnants, leurs PEL, PEA et leurs assurances-vie en augmentant de 2,8 milliards la CSG, les macronistes soutiennent et applaudissent et les LR se taisent.
Effectivement nous n’avons pas les mêmes priorités, et c’est heureux pour les Français !