Le nouveau maire de New York est-il lié aux réseaux islamistes? La journaliste française Caroline Fourest décrit les liens entre Zohran Mamdani et diverses figures et organisations qui font partie de la nébuleuse des Frères musulmans. (Les Frères musulmans sont une organisation secrète islamiste d'origine égyptienne qui étend depuis plusieurs décennies ses tentacules dans les institutions occidentales. Sous des apparences souvent « modérées », voire « progressistes », il s'agit en fait d'un mouvement très radical. Le Hamas, par exemple, est la branche palestinienne des Frères musulmans.) Fourest note également que Mamdani est proche d'un imam radical, qu'il décrit comme « un des plus grands savants musulmans de l'ère contemporaine ». Léger problème, cet imam a défendu l'attentat du World Trade Center de 1993, qui a fait 6 morts et 1042 blessés. Il s'agit d'ailleurs du premier attentat djihadiste de l'histoire occidentale. Extrait de l'émission 24h Pujadas sur LCI. #Mamdani #islamisme

❗️ [ 🇺🇸 ÉTATS-UNIS ] 🔸️ Impressionnante vidéo d'une caméra embarquée montrant le crash d'un avion UPS à Louisville. Au moins 7 personnes ont été tuées.

🆘 🇫🇷 Avez-vous déjà écouté l’appel le plus terrifiant des attentats du Bataclan, le 13 novembre 2015 ? L’appel téléphonique fait froid dans le dos. Une pensée pour toutes les victimes de cet attentat. Ce jour-là, l’ISLAM a tué 130 personnes.

Un petit refresh pour les fefans du #CH 😆

L’excellente campagne des Anglais pour montrer la mise en esclavage par l’identité numérique

Dear @coldplay, I doubt you’ll ever see this – but some things need to be said. At a recent concert of yours, you asked two fans who had been brought on stage where they were from. When they responded with “Israel,” they were met with boos from the crowd. Instead of supporting them and treating them like you would any other fans – with dignity, respect, and kindness – you made them feel conditionally tolerated, dehumanized, and guilty of being Jewish. For centuries, Jews inside and outside Israel have been treated and made to feel impure, less than, and devalued. During the Holocaust, the Nazis referred to us as rats. Our slaughterers – from Castile, to Hebron, Baghdad, Kielce and Be'eri – viewed us as sub-human to justify the killing. So, when you sit there and say “We are treating you as equal humans on earth, regardless of where you come from,” you aren’t, in fact, doing something righteous – you’re looking at those girls in the face and saying “We know you aren’t equal, nor human, but tonight, we can pretend you are.” To make matters worse, you then did something so many like you have been taught to do for decades. You had to bring up Palestine. In your mind, Jewish existence is premised on Palestinian dispossession, deprivation, and despair. To acknowledge Jewish life without also acknowledging Palestinian life would be sacrilege to someone like you. It’s why when Jews are attacked – so many have the kneejerk reaction to bring up “Islamophobia.” Even Jewish trauma must be equitable. What should have been a night of celebration, awe, and excitement was likely turned into an evening of humiliation, confusion, and sadness because you lack even the most basic understanding of the things you preach. The next time you come across Jews or Israelis – please – for the love of God – do better.

Une autre gaffe. 🤦‍♂️

J'adore ! 😆😆

😂😂😂

Viva Sidney Sweeney ! Et fuck les peine à jouir et les frustrées du woke !

Anthony a toujours le bon sens.

Ah bah voilà, grâce à @ame_ism et d'autres, j'ai compris l'origine de cet étonnant rapport de l'INSEE relayé avec zèle par nos chers médias mainstream 🧐🤷🏼‍♀️ Vous ne devinerez jamais d'où vient cette idée liberticide et déshumanisante !!😅🤷🏼‍♀️⬇️ #usualsuspects

RIP Fiori 😔

Au Costa Rica, un jeune abruti a jeté sa boisson, laissé des déchets et de l'eau derrière lui, puis est parti comme si de rien n'était... ils l'ont retrouvé plus tard et l'ont obligé à nettoyer 😬🧹 Tiens c’est marrant il me vient une idée 🤔 …

Pour en finir avec les illusions et la pensée kleenex Avant que ma voix ne s’éteigne temporairement, contrainte par les circonstances et les "pressions", je livre ici une ultime réflexion sur l’Ukraine et le basculement du monde. Ce sujet, je n’y reviendrai plus tant que les risques pour moi et les miens ne se seront pas dissipés. Mes analyses et déplacements à l'Est reprendront lorsque le moment sera propice. L’Ukraine, telle que vous l’avez connue, est révolue. Ce n’est ni une exception ni une fin : c’est l’histoire en mouvement, tragédie humaine pour certains, mécanique géopolitique pour d’autres. La perspective dépend du point de vue géographique et stratégique. Oubliez les illusions d’une économie de guerre ou d’un effondrement imminent de la Russie. Ce que nous observons est un bouleversement profond et irréversible de l’ordre mondial, lent mais inéluctable. Les guerres, loin de s’éteindre, ne font que s’amorcer. L’Ukraine, réduite à son noyau, s’effacera progressivement. La Russie, portée par une dynamique implacable, avancera jusqu’à Odessa, au minimum. Trop de sang a coulé pour que le conflit s’arrête net. Le président ukrainien l’a compris. Pour les BRICS, l’Ukraine symbolise désormais l’insupportable hypocrisie du deux poids, deux mesures, un constat partagé par une grande partie du monde. Palestine, Irak, Libye, RDC : les mêmes logiques s’appliquent. Cela n’excuse pas les guerres, mais les éclaire. Nul besoin de postures morales. Les alliances se redessinent. Le pacte sino-russe, solide pour un temps long, redéfinit les équilibres. Les États-Unis, conscients de cette réalité, jouent la montre, cherchant à sécuriser leurs ressources pour l’avenir. Car tout se joue là : gaz, pétrole, minerais, terres rares. Les guerres, qu’elles soient hybrides ou conventionnelles, n’ont toujours eu qu’un seul moteur : l’accès aux ressources. Les conflits territoriaux ne sont que leur prolongement. Les États-Unis se retireront bientôt du grand jeu, se repliant sur une autarcie stratégique, quel que soit leur leadership. Trump ou un autre, la forme varie, le fond reste : l’intérêt national prime. Ne vous y trompez pas. Au Moyen-Orient, le djihadisme, échappant à ceux qui l’ont attisé, rebat les cartes. Le Liban pourrait être la prochaine victime. Quant à l’Europe, et la France en particulier, elle doit se réinventer face à un mur de défis. Les gouvernements successifs ont trop longtemps détourné le regard. La troisième guerre mondiale, dont les germes n’ont jamais cessé de croître depuis 1945, se profile à l’horizon. Le monde se recompose. Seuls les acteurs souverains, portés par des alliances cohérentes et une vision stratégique, survivront. La France saura-t-elle se positionner ? Rien n’est moins sûr. Préparons-nous, car personne n’en sortira indemne. #UkraineWar #brics

Je ne sais plus quoi dire quand je vois encore des gens défendre ce marché du carbone comme s’il s’agissait d’un chef-d’œuvre de génie économique. Abolir cette arnaque, ce serait apparemment la pire option ? Pour qui, au juste ? Certainement pas pour le citoyen moyen qui voit ses factures grimper pendant qu’une poignée de joueurs profitent d’un système complètement déconnecté du réel. On nous parle d’un « système sophistiqué dans lequel le Québec a investi énormément ». Et alors ? On devrait continuer de le faire rouler juste parce qu’on y a mis de l’argent et que c’est complexe ? C’est exactement cette logique-là qui mène les gouvernements à s’entêter dans des échecs monumentaux. Mais ici, l’échec est bien déguisé. Il se cache derrière des termes comme "quotas", "droits d’émission", "bourse". Une belle façade verte pour un racket bien rodé. Et puis, sérieusement, la cerise sur le sundae, on compare ça à la lutte contre les pluies acides. On recycle les mythes du passé pour justifier les absurdités du présent. Cette manie de sortir de vieilles histoires supposément réglées grâce à des politiques magiques, alors que personne ne peut vraiment prouver l’efficacité de quoi que ce soit, commence à fatiguer. Le marché du carbone ne règle rien. Il permet juste de taxer davantage, d’alourdir la bureaucratie et de créer un nouveau terrain de jeu pour les spéculateurs. Et quand quelqu’un ose proposer de sortir de cette mascarade, comme Duhaime, on crie au sacrilège. Parce qu’on ne touche pas aux dogmes. Parce que tout ce qui remet en question l’ordre établi est automatiquement classé comme dangereux. Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette bourse du carbone n’est pas un outil environnemental. C’est un outil politique, fiscal et idéologique. Rien de plus. Et ceux qui la défendent, consciemment ou non, défendent un système qui fait du mal aux gens tout en prétendant les sauver.

WOW! COUP DE CIRCUIT POUR LE PRÉSIDENT TRUMP !🥳 BIEN SÛR, ON ENTEND LES MOUCHES VOLER DU COTÉ MERDIAS.🪰 Le président Trump et le prince héritier Mohammed bin Salman viennent de signer un accord apportant plus de 600 milliards de dollars d'investissements aux États-Unis.

Titres de journaux: - REM encore en panne - SAAQ en panne - 46% des stations de métro en mauvais état - 43% des infrastructures routières du Québec sont en mauvais ou en très mauvais état - Plus de 50 % des écoles sont toujours en mauvais ou très mauvais état au Québec - 16% des hôpitaux du Québec se retrouvent avec un indice d’état général au plus bas, récoltant des cotes de D ou E. - Environ 40 % des CHSLD du Québec en mauvais état - Près de 40 % des ponts sont dans un état jugé très mauvais , mauvais ou passable Tout ça avec: - Taxes les plus élevées de l'OCDE - Plus grosse fonction publique en Amérique du Nord au ratio - Dette élevée Allumez-vous ou vous pensez encore que l'État va vous torcher?

Dans ses 100 premiers jours, Trump n'a pas seulement modifié la stratégie énergétique de l'Amérique, il l'a complètement transformée. Le Green New Deal a disparu. Les quotas de VE: pouf, éliminés. Au lieu de gaspiller des milliards sur des fantasmes climatiques ratés, Trump s'appuie sur les sources d'énergie qui ont rendu l'Amérique forte. Le charbon propre est en cours de relance. La fracturation hydraulique est en expansion. Les champs de gaz et de pétrole sont en cours de réouverture. Et l'Amérique exporte à nouveau le GNL vers l'Europe, qui en a désespérément besoin. Pendant les années Biden, les prix du pétrole ont grimpé à 120 dollars le baril. Aujourd'hui, ils ont chuté de moitié - et Trump ne draine pas la Réserve stratégique de pétrole pour falsifier ces chiffres comme Biden l'a fait avant les élections de mi-mandat. En fait, il se prépare à la remplir. Le message est clair : sous Trump, l'indépendance énergétique n'est pas un rêve, c'est la réalité.

Fabrice eboué et le wokisme ..😅😅😅