📢📊🚨 On est arrivés à un stade où l’État ne se contente plus de prélever, il dévore. Le chef d’entreprise, aujourd’hui, c’est le gibier officiel du système. Il bosse, il crée, il embauche, il prend des risques, et en retour il se fait ronger jusqu’à l’os. Charges, taxes, contrôles, normes absurdes… Il n’y a plus un espace de respiration. Tout est ponctionné, tout est surveillé, tout est justifié au nom d’une morale pseudo-sociale qui ne profite qu’à la machine elle-même. Et ce qui est fascinant, c’est que sur les réseaux, tout le monde commence à le voir. Les vidéos de patrons à bout explosent, les gens commentent, ils comprennent enfin que ce n’est pas “les riches contre les pauvres”, c’est l’État contre ceux qui bossent. La matrice se fissure, l’illusion du “bien commun” s’effondre, et la voracité du Léviathan fiscal devient visible à l’œil nu. Ceux qui ont encore un peu de lucidité voient bien que le système ne veut pas d’entrepreneurs libres, il veut des producteurs captifs, dociles et ruinables à volonté.