⚠️ 27 Octobre 2005, deux débiles, « Zyed et Bouna » fuient la police, et QI d’huître oblige, ils partent se faire griller dans un transfo EDF.
Dès le lendemain des émeutes explosent : 10,000 véhicules brûlés, 300 bâtiments détruits.
Mais ce n’est pas le pire :
3 hommes sont tués par les émeutiers, et leur noms ne sont jamais cités :
➡️ Jean-Jacques Le Chenadec, 61 ans, retraité, a été battu à mort le 4 novembre 2005 à Stains (Seine-Saint-Denis). Il était sorti défendre son véhicule contre un groupe d’émeutiers qui l’attaquaient. Il a été pris pour un policier par ses agresseurs, roué de coups et laissé pour mort. Il a succombé à ses blessures le lendemain. L’auteur principal a été condamné à cinq ans de prison ferme en 2007.
➡️ Salah Gaham, 29 ans, gardien d’immeuble à Besançon, est mort asphyxié le 8 novembre dans l’incendie volontaire de sa loge, allumé par des émeutiers.
➡️ Alain Lambert, 32 ans, gardien de lycée à Trappes (Yvelines), est mort le 10 novembre, également asphyxié dans l’incendie de sa guérite par des jets de cocktails Molotov lancés par des émeutiers.
Vous n’entendrez jamais parler de ces innocents que les émeutiers ont tué.
La gauche ne prononce jamais leurs noms.
Parce que la gauche s’en fout.
Vous devez le faire.
Oct 27, 2025 · 8:21 AM UTC
➡️ Le 27 octobre, jour même du déclenchement des émeutes, Jean-Claude Irvoas, consultant de 56 ans pour une société d'éclairage public, s’arrête dans le quartier d'Orgemont à Épinay-sur-Seine, pour photographier des lampadaires installés par son entreprise. Il est agressé par Samba Diallo, Benoît Kusonika et Icheme Brighet, qui l'ont traîné derrière un arbre, frappé violemment et lui volent son appareil photo, pensant qu’il était policier. Sa femme et sa fille de 16 ans, présentes dans la voiture, ont assisté à la scène impuissantes.
Il a succombé le soir même à l'hôpital d'un traumatisme crânien mortel.






















