Pendant que les bourreaux écrivent l’histoire, je m’assure qu’on n’oublie pas les corps. À chacun ses armes. Moi, j’ai des mots.

Joined October 2023
Thread. L’une des grandes différences entre les pro-génocidaires et les humains, c’est que les premiers sont frappés d’amnésie et n’ont qu’une compassion sélective. Où étaient ceux qui versent aujourd’hui des larmes de crocodile pour les Bibas – alors qu’ils savent pertinemment qu’ils ont été tués en novembre 2023 sous les bombardements aveugles d’israël– quand Assir et Aysal Mohamed, des jumeaux nouveau-nés, ont été massacrés par Israël ? À la piscine, peut-être ?
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𝐎𝐧 𝐥𝐞 𝐬𝐚𝐢𝐭, 𝐞𝐭 𝐢𝐥𝐬 𝐧𝐞 𝐬’𝐞𝐧 𝐜𝐚𝐜𝐡𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 : Israël tente de redorer son image désastreuse de génocidaire. Et pour cela, rien de mieux que la vieille spécialité israélienne : la perfidie, le mensonge et la manipulation. À l’UCLA, des sionistes se sont déguisés en Palestiniens, keffieh sur les épaules, parce qu’évidemment, sans ça, personne ne voudrait leur adresser la parole. Ils ont commencé leur petit numéro en feignant d’accuser Tsahal, histoire de capter l’attention de leurs proies. Car oui, pour eux, le goy n’est rien d’autre qu’une proie à manipuler. Puis vient la désinformation. Ils diffusent des images de Palestiniens exécutant d’autres Palestiniens, prétendant qu’il s’agirait de gens ayant juste protesté contre le Hamas. 𝐌𝐞𝐧𝐬𝐨𝐧𝐠𝐞 𝐩𝐮𝐫. Sans mensonge, le sioniste ne respire plus. 𝐂𝐞𝐬 𝐟𝐚𝐦𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐞𝐱𝐡𝐢𝐛𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐣𝐮𝐛𝐢𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐞̀𝐧𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐪𝐮’𝐢𝐥𝐬 𝐮𝐭𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐢𝐟𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐡𝐚𝐢𝐧𝐞, 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐥𝐞 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐫𝐢 𝐝’𝐈𝐬𝐫𝐚𝐞̈𝐥 𝐥𝐮𝐢-𝐦𝐞̂𝐦𝐞. Ces individus appartiennent aux milices et aux gangs qu’Israël s’est publiquement vanté d’avoir créés pour semer le chaos à l’intérieur de la résistance palestinienne et qui ont été lâchement abandonnés par leurs commanditaires. Certains sont d’anciens membres de Daech. Autrement dit, des traîtres, des collaborateurs du génocide. Ce n’est ni aux sionistes, ni à nous, d’évaluer ces exécutions. Dans un contexte d’occupation, d’infiltration et de survie, le sens de la justice ne peut pas être jugée depuis nos canapés, bien au chaud. Voilà Israël résumé en une séquence : 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐢𝐝𝐢𝐞, 𝐦𝐚𝐧𝐢𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐦𝐞𝐧𝐬𝐨𝐧𝐠𝐞. Et cette vidéo doit nous rappeler une chose essentielle : 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐭𝐨𝐮𝐬. Informer, partager, dénoncer, boycotter, manifester… chaque geste compte. Merci @hosny_dzed pour la vidéo.
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🇺🇸 BATTLE SHOES 👟👟👟
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Replying to @ZemmourEric
Tu nous fais chier avec ton islamophobie Zemmour 😤 L'islam repose sur une foi inébranlable ❗ La force d'accomplir 5 prières par jour est une preuve d'amour d'Allah ! On ne discute pas avec Israël, On obéit, donc il n'y a pas de liberté individuelle. CQFD
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Tu verras que si elle termine dans les 3 premières la diablesse va nous dire que la place lui éteint promise il y a 3000 ans
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C’est vrai Noa, organisez donc la visite VIP. Offrez à M. Mamdani un passe-droit spécial pour Ben Gourion. Sinon, avec un nom à consonance non juive, il risquerait d’avoir droit au protocole complet : fouille intégrale, interrogatoire suspicieux et regards chargés de méfiance. La fameuse “procédure standard”, vitrine de votre hospitalité démocratique. Ce serait ballot. Une fois le tampon obtenu, direction 𝐒𝐝𝐞 𝐓𝐞𝐢𝐦𝐚𝐧. Le centre de détention modèle, version “club de vacances sous barbelés”. On y pratique les “interrogatoires nécessaires” : un euphémisme élégant pour désigner les viols, les humiliations et les tortures. Avant d’aller plus loin, présentez-lui votre chef-d’œuvre juridique : 𝐥𝐚 𝐋𝐨𝐢 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝟐𝟎𝟏𝟖. Courte, limpide, sans détour : “ici, c’est pour les Juifs, les autres attendront. ” Emmenez-le ensuite sur les routes séparées. Les colons en SUV climatisés, les Palestiniens à pied ou sur des pistes poussiéreuses, quand elles ne sont pas bloquées par un checkpoint. Rappelez-lui que 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟕𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐬 circulent ainsi librement, sur des routes réservées, à travers une Cisjordanie morcelée jusqu’à l’absurde. Faites-lui essayer les bus réservés aux Israéliens, pendant que la police militaire fouille ceux des autres. Puis halte au 𝐜𝐡𝐞𝐜𝐤𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭. Qu’il attende des heures sous le soleil, pour observer ce soldat de 19 ans, venu d’Europe, qui joue à Dieu et décide qui peut respirer de l’autre côté. Avec un peu de chance, il assistera à la fouille humiliante d’une famille palestinienne, ponctuée de cris et de gestes brusques. Continuez la visite : 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐞́𝐭𝐨𝐧. Érigés pour “protéger”, mais surtout pour diviser. Ils avalent les terres, étranglent les villages, étouffent l’horizon et transforment la Cisjordanie en un puzzle illisible, morcelé, impossible à vivre. Faites un détour par 𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐚𝐮. Montrez ces familles palestiniennes qui survivent avec 50 litres par jour pendant que, juste à côté, les pelouses des colonies brillent d’un vert insolent. Et s’il reste un puits, précisez qu’il a été volontairement contaminé, pour rappeler jusqu’où va la maîtrise du territoire. Ensuite, offrez-lui 𝐮𝐧 𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐚𝐜𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐠𝐫𝐨𝐦. Des colons armés, protégés par l’armée, qui incendient des maisons, pillent des champs, frappent les anciens et laissent parfois des morts derrière eux. Montrez-lui un 𝐨𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐚𝐫𝐫𝐚𝐜𝐡𝐞́, 𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩 𝐛𝐫𝐮̂𝐥𝐞́. De simples “incidents mineurs”, comme vous dites dans vos rapports. Et terminez par la vitrine administrative : une ONG palestinienne classée “terroriste” pour avoir documenté les faits. Enfin, direction 𝐇𝐞́𝐛𝐫𝐨𝐧, rue Shuhada. Les colons y paradent, les soldats y “maintiennent la paix”. Montrez-lui les centaines de rues mutilées par les bulldozers, chaque sillon une petite déclaration : nous sommes ici pour leur pourrir la vie. Maisons murées, écoles fermées, enfants arrêtés pour une pierre. 𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐫, poussez jusqu’à 𝐆𝐚𝐳𝐚. Le clou du spectacle. Montrez-lui ces murs qui enferment deux millions de personnes dans une prison à ciel ouvert. Faites-lui traverser les ruines : des quartiers entiers réduits en poussière, plus de 85 % du territoire détruit, les hôpitaux à l’agonie, les enfants au milieu des gravats. Qu’il voie la faim, la maladie, le silence qui suit les bombardements. Et qu’il comprenne que, là aussi, tout cela porte encore un nom : sécurité. Et vous avez raison Noa, montrez-lui la Gay Pride, votre fête “folle, folle, folle”, cette vitrine de liberté mise en scène sur un cimetière d’injustices. Pas sûr que ça colle avec les “valeurs juives” dont vous parlez tant, mais à ce stade, une contradiction de plus ne changera rien. Oui, Noa, organisez tout cela. Et surtout, appelez ça, comme toujours, “𝐥𝐚 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐲𝐞𝐧-𝐎𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭.”
Dear Mayor-elect Zohran Mamdani (@ZohranKMamdani), I’m officially inviting you to Israel, to see what the only thriving democracy in the Middle East actually looks like. WARNING: Exposure to facts may cause your worldview and talking points to dramatically shift. 🇮🇱😉
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Guide du Routard d'Israël édition Le Magnifique
C’est vrai Noa, organisez donc la visite VIP. Offrez à M. Mamdani un passe-droit spécial pour Ben Gourion. Sinon, avec un nom à consonance non juive, il risquerait d’avoir droit au protocole complet : fouille intégrale, interrogatoire suspicieux et regards chargés de méfiance. La fameuse “procédure standard”, vitrine de votre hospitalité démocratique. Ce serait ballot. Une fois le tampon obtenu, direction 𝐒𝐝𝐞 𝐓𝐞𝐢𝐦𝐚𝐧. Le centre de détention modèle, version “club de vacances sous barbelés”. On y pratique les “interrogatoires nécessaires” : un euphémisme élégant pour désigner les viols, les humiliations et les tortures. Avant d’aller plus loin, présentez-lui votre chef-d’œuvre juridique : 𝐥𝐚 𝐋𝐨𝐢 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝟐𝟎𝟏𝟖. Courte, limpide, sans détour : “ici, c’est pour les Juifs, les autres attendront. ” Emmenez-le ensuite sur les routes séparées. Les colons en SUV climatisés, les Palestiniens à pied ou sur des pistes poussiéreuses, quand elles ne sont pas bloquées par un checkpoint. Rappelez-lui que 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐞 𝟕𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐜𝐨𝐥𝐨𝐧𝐬 circulent ainsi librement, sur des routes réservées, à travers une Cisjordanie morcelée jusqu’à l’absurde. Faites-lui essayer les bus réservés aux Israéliens, pendant que la police militaire fouille ceux des autres. Puis halte au 𝐜𝐡𝐞𝐜𝐤𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭. Qu’il attende des heures sous le soleil, pour observer ce soldat de 19 ans, venu d’Europe, qui joue à Dieu et décide qui peut respirer de l’autre côté. Avec un peu de chance, il assistera à la fouille humiliante d’une famille palestinienne, ponctuée de cris et de gestes brusques. Continuez la visite : 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐞́𝐭𝐨𝐧. Érigés pour “protéger”, mais surtout pour diviser. Ils avalent les terres, étranglent les villages, étouffent l’horizon et transforment la Cisjordanie en un puzzle illisible, morcelé, impossible à vivre. Faites un détour par 𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐚𝐮. Montrez ces familles palestiniennes qui survivent avec 50 litres par jour pendant que, juste à côté, les pelouses des colonies brillent d’un vert insolent. Et s’il reste un puits, précisez qu’il a été volontairement contaminé, pour rappeler jusqu’où va la maîtrise du territoire. Ensuite, offrez-lui 𝐮𝐧 𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐚𝐜𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐠𝐫𝐨𝐦. Des colons armés, protégés par l’armée, qui incendient des maisons, pillent des champs, frappent les anciens et laissent parfois des morts derrière eux. Montrez-lui un 𝐨𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐚𝐫𝐫𝐚𝐜𝐡𝐞́, 𝐮𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩 𝐛𝐫𝐮̂𝐥𝐞́. De simples “incidents mineurs”, comme vous dites dans vos rapports. Et terminez par la vitrine administrative : une ONG palestinienne classée “terroriste” pour avoir documenté les faits. Enfin, direction 𝐇𝐞́𝐛𝐫𝐨𝐧, rue Shuhada. Les colons y paradent, les soldats y “maintiennent la paix”. Montrez-lui les centaines de rues mutilées par les bulldozers, chaque sillon une petite déclaration : nous sommes ici pour leur pourrir la vie. Maisons murées, écoles fermées, enfants arrêtés pour une pierre. 𝐀𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐫, poussez jusqu’à 𝐆𝐚𝐳𝐚. Le clou du spectacle. Montrez-lui ces murs qui enferment deux millions de personnes dans une prison à ciel ouvert. Faites-lui traverser les ruines : des quartiers entiers réduits en poussière, plus de 85 % du territoire détruit, les hôpitaux à l’agonie, les enfants au milieu des gravats. Qu’il voie la faim, la maladie, le silence qui suit les bombardements. Et qu’il comprenne que, là aussi, tout cela porte encore un nom : sécurité. Et vous avez raison Noa, montrez-lui la Gay Pride, votre fête “folle, folle, folle”, cette vitrine de liberté mise en scène sur un cimetière d’injustices. Pas sûr que ça colle avec les “valeurs juives” dont vous parlez tant, mais à ce stade, une contradiction de plus ne changera rien. Oui, Noa, organisez tout cela. Et surtout, appelez ça, comme toujours, “𝐥𝐚 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐌𝐨𝐲𝐞𝐧-𝐎𝐫𝐢𝐞𝐧𝐭.”
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MAGA promis aux américains, MIGA dans la réalité ça donne ce résultat! Le debut de la fin pour Trump 🙏
Miss Génocide, fais un effort bordel, y’a des caméras 🤣
L’image du jour qui en dit long…
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« Entre toi et moi, il y a un amour éternel. » Un jeune homme de Gaza avait acheté une robe de mariée pour celle qu’il aimait. Il l’attendait, plein d’espoir, rêvant du jour où elle la porterait pour célébrer leur union. Mais à Gaza, le destin ne connaît pas la douceur. Sa fiancée a été tuée avant même de pouvoir enfiler la robe, arrachée à la vie par un bombardement israélien. Depuis, il vivait avec cette robe comme avec un fantôme. Jusqu’au jour où il a décidé de la brûler. Pas pour l’oublier, mais pour lui rendre sa liberté, à elle, et à lui. À Gaza, les histoires d’amour ne se terminent pas par une fête, mais par une flamme. Une flamme qui consume les rêves, et éclaire encore la mémoire des vivants.
Petit rappel utile : Un des arguments de désinformation les plus répandus dit que “la CIJ n’a pas statué sur un génocide à Gaza.” C’est vrai. Mais la CIJ n’a JAMAIS statué sur un génocide pendant qu’il se déroulait. Elle n’en parle que de nombreuses années après les morts.
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Même dans leurs insultes, les Israéliens avouent le génocide. Le ministre de la défense publié cette image. Gaza, en ruines, est détruite, et la Cour internationale de justice reste fidèle à sa méthode : reconnaître les génocides une fois qu’il n’y a plus personne pour en témoigner.
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Quand la Palestine sourit, Israël brûle de haine. Deux regards, deux humanités.
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🚨Demander des comptes aux rédactions qui accueillent madame Bouilhaguet : cette séquence dans laquelle la journaliste Alix Bouilhaguet diffuse des fake news tourne énormément depuis ce matin et à raison bien sûr. Mais elle doit aussi provoquer une réaction. Et donc il faut aussi demander des comptes - à la direction de France inter @AdeleVanReeth - à la direction du @lemondefr, partenaire de l'émission. Caroline Monnot @caromonnot est directrice de la rédaction. - à la direction de @franceinfo, Alexandre Kara, directeur de l'information où officie également madame Bouilhaguet Et ce n'est pas la première fois que madame Bouilhaguet se comporte d'abord comme une propagandiste. A moins que le service public souhaite devenir un nouveau #Cnews... ===== N'oubliez pas de suivre ce compte @CharliesIngalls pour plus d'informations !
🚨 "Intifada", "Hamas", "UNRWA" ou la trumpisation du journalisme Français : Zohran Mamdani et les réponses aux fake news de la journaliste Alix Bouilhaguet @ABouilhaguet qui interrogeait le député Manuel Bompard @mbompard Cette séquence est terrible pour le journalisme. Il ne faut plus se demander pourquoi tant de Français ne font plus confiance aux médias quand on voit ces quelques minutes ! 1⃣ La journaliste commence par accuser le maire élu de New York d'avoir repris à son compte l'expression "globalisation de l'intifada". Sauf qu'il a été interrogé par les médias américains et qu'il a clairement dit "ce n'est pas le langage que j'utilise", avant d'ajouter qu'il n'était pas là pour être la police des mots. 2⃣Alix Bouilhaguet poursuit ensuite en affirmant que Zohran Mamdani n'aurait pas condamné le 7 octobre. Et là encore, les faits lui donnent tord. Dans une interview donné à CBS, il dit qu'il "condamne le Hamas" et ajoute que le 7 octobre est un "crime de guerre horrible". Mais il ajoute aussi qu'il qualifie ce qui se passe à Gaza de "génocide" au nom de l'universalité du droit international. Et c'est bien parce qu'il est un fervent défenseur des droits du peuple palestinien qu'il est ainsi attaqué en France. 3⃣Dernière fake news d'Alix Bouilhaguet : le fait que Mamdani puisse lever des fonds pour l'UNRWA, l'UNRWA, une agence de l'ONU, comme le lui rappelle Manuel Bompard. Pendant des mois, Israël avait lancé une campagne pour décrédibiliser cette agence de l'ONU qui vient en aide aux Palestiniens. Sauf que la Cour Internationale de Justice a rendu son avis dans lequel elle affirmait qu'Israël ne démontrait aucune de ses accusions contre l'agence et qu'Israël en tant que puissance occupante devait par ailleurs faciliter la livraison d'aide aux Palestiniens. Ce qui s'est passé aujourd'hui sur ce plateau de télévision français est d'une gravité sans nom. La vérité, l'information, le service public tous piétinés par madame Bouilhaguet, la trumpisation du journalisme en France ! Il est de la responsabilité de @franceinter de présenter ses excuses aux téléspectateurs. @AdeleVanReeth, un avis ? Françoise Fressoz @FFressoz également présente sur le plateau pour Le Monde, un avis ? Caroline Monnot @caromonnot, directrice de la rédaction @lemondefr, vous désolidarisez-vous de cette manipulation de l'information ? ===== N'oubliez pas de suivre ce compte @CharliesIngalls pour plus d'informations !
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N'oubliez jamais que les usa et Israel ont qualifiéNelson Mandela de terroriste jusqu'en 2008.
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Replying to @MagnifiqueTomy
Au secours ! Les frères musulmans ont envahi l'elysee Cet entrisme au sommet de l'état francais est insupportable. Les voilées ont tué la laïcité. Nos valeurs ! La république ! C'est la Chariah à l'élysee
France: Occupied
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Roue libre sur Radio J, là où la réalité s’arrête et où le délire commence. Frères musulmans, juifs dégénérés, martiens, fakes, haine et syndrome de persécution en série. Radio J, ressemble plus à un laboratoire officiel de la paranoïa sioniste qu’à une station d’info.
Sérieux, c’est ça qu’on est devenus ? Le pire, c’est que certains trouvent ça “normal” maintenant.
À l’occasion de la grève générale prévue en Italie les 28 et 29 novembre en Italie, Francesca Albanese adresse un message simple, mais essentiel : « 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐲 𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐚 𝐏𝐀𝐈𝐗, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐪𝐮’𝐢𝐥 𝐲 𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐚 𝐉𝐔𝐒𝐓𝐈𝐂𝐄. » Ce message dépasse les frontières. Il appartient à l’humanité entière. À chaque pays maintenant d’agir.