Notre-Dame, le Louvre, toujours la même scène : catastrophe, émotion mondiale, promesse de “renaissance”.
Sécurité révisée juste avant, narration huilée après.
Macron adore ce mot : Renaissance.
Il l’emploie pour tout : la France, l’Europe, l’armée, l’école.
Mais une renaissance suppose une mort.
Et dans son récit, ce sont toujours les humains qui meurent, pas le système.
Le feu devient communication, la perte devient storytelling.
On détruit pour “reconstruire”, on sacralise la gestion, on politise le sacré.
Macron parle de lumière, mais c’est la lumière froide du contrôle.
“Renaissance” n’est plus promesse, c’est mode d’emploi : brûler, pleurer, rebâtir sous surveillance.
L’Histoire avance à coups de drames chorégraphiés.
Et le miracle, désormais, s’appelle plan de communication.
🇫🇷👑 FLASH
« Les bijoux seront retrouvés, ils seront arrêtés, ils seront jugés, la sécurité du Louvre sera totalement repensée et derrière le Louvre on le rebâtira plus grand ! »
Déclare Emmanuel Macron interrogé par la chaîne mexicaine concernant le vol du Musée du Louvre